NOS DESIGNERS

   

Derrière chaque œuvre se trouve une vision. Découvrez les artistes qui façonnent notre collection.

Atelier Stokowski

Atelier Stokowski est un atelier de soufflage de verre créé par 3 frères passionnés. 

Situé à mi-chemin entre artisanat d’art et design, Atelier Stokowski conçoit et réalise des luminaires et objets en verre soufflé, sublimés par le mariage avec d’autres matériaux nobles tels que le laiton et le bois.

 

Cherchant constamment l’alchimie entre lignes et lumière, l’atelier est en perpétuel quête d’innovation à travers l’exploration des techniques de soufflage. Du verre soufflé à main levée, gravé, sablé au verre filigrané, chaque pièce est le fruit d’un processus de création méticuleusement perfectionné et minutieusement appliqué.

 

 

Atelier Stokowski s’efforce continuellement de repousser les limites de l’art du verre pour offrir des pièces uniques imprégnées d’un esthétisme contemporain et offrir ainsi un mariage entre tradition et modernité. Une véritable fusion entre l’âme de l’artisanat et la vision du design.

Né à vannes en 1973, vit et travail comme scénographe d’expositions à Paris. à sa sortie des beaux-arts, Gwendal s’investi principalement dans des projets collectif en lien avec la performance. 

 

De la création du collectif Praxis à Rennes aux performances de la chorégraphe Catherine Baÿ, il à toujours privilégié des formes artistiques radicales mais inclusives. 

 

C’est en 2015 qu’il entreprend une production d’œuvres plastiques , peintures et sculptures, comme une continuité de ses recherches sur le temps, l’espace, la trace laissée, ou la sérendipité, héritée de sa pratique de la performance scénique.

Le monde change, les clients attendent des expériences et des produits faciles, beaux et éthiques. Spécialisé en éco-conception, depuis 10 ans le STUDIO RIOT conçoit avec les marques des objets, des services et des lieux sereins et séduisants. Centrées sur les besoins des utilisateurs et limitant les impacts environnementaux, ses réalisations sont pratiques, écologiques et poétiques.

 

Dès l’enfance, JEANNE RIOT a décidé d’être le porte-voix, et peut-être le bras armé, d’un design éthique qui produit sans profusion, trop affectif pour être démodé. Pour elle, le design s’ancre avant tout dans un rapport au monde sensible, aux savoir-faire, au territoire et à la nature, qu’elle aime explorer.

Après plus de vingt-cinq ans consacrés à la peinture, je me suis tourné vers la sculpture, et plus particulièrement la céramique.

 

Ma pratique est expérimentale. Je récolte souvent ma terre, fabrique mes émaux à partir de matières brutes — sable, roche, verre, métal — et détourne parfois les méthodes traditionnelles. J’aime l’idée d’une alchimie incertaine, où le hasard et l’instinct ont leur place.

 

Mes pièces évoquent des objets anciens ou futuristes, comme des vestiges d’un monde oublié. Je cherche à faire remonter une mémoire enfouie, une trace. En sculpture, j’ai choisi de porter le nom de ma mère, d’origine arménienne — un hommage aux notions de mémoire et de transmission.

 

Je travaille aussi d’autres matériaux, mais c’est la céramique qui me permet le mieux d’explorer l’ambiguïté : entre forme et déformation, artisanat et fiction, technologie et biologie. Mes œuvres sont des organismes céramiques, des formes hybrides en constante métamorphose.

 

PRINCIPALES EXPOSITIONS

 

2025 . Group show Galerie Kiff and Marais – 17, rue des Graviliers Paris III

 

2024 . Group show Le rouge et le noir – Villa Cathala Noisy le Grand

 

2023  . Group show Maison d’Art Xavier-François Bertrand   –   Bordeaux

 

  . Group show Crown me ! Couronne-moi ! Galerie Grès Paris IV

 

2019  . Group show Armenian Center for Contemporary Experimental Art – Erevan

 

2017  . Group show Eglise saint Merri – Paris IV

 

2015 . Group show Galerie Nationale d’Arménie – Erevan

 

Collection La coopérative Musée Cérès Franco – Montolieu 11170

Laura Cambon est artisan verrier et s’est spécialisée dans la création de décors pour l’architecture d’intérieur. Elle a développé un système de maille modulaire et flexible innovante combinant le verre au métal, qui lui permet de réaliser des surfaces de verre articulées souples et aériennes. A travers son approche singulière, elle explore de nouvelles formes et usages du verre, pour créer des panneaux décoratifs et des luminaires sur mesure et de grandes dimensions. Elle travaille avec les architectes et les décorateurs pour créer des décors uniques dans des espaces à la fois privés et public (boutiques, hôtels, restaurants…) : claustras, décors de fenêtre, décors muraux, décors suspendus, luminaires, paravents…

 

La technique inédite qu’elle a mise au point, associant savoir-faire traditionnels du verre et outils numériques, a été récompensée par de nombreux prix ces dernières années.

Après des études aux Beaux-arts de Paris puis aux Arts Décoratifs de Paris en architecture d’intérieur, Laura Cambon intègre la Maison Lalique et exerce pendant 4 ans comme designer dans le service Interior Design de la cristallerie de luxe. Elle découvre durant cette période l’univers de l’artisanat haut de gamme et le métier du verre. Prise de passion, elle suit alors une formation au CERFAV (Centre Européen de recherche et de Formation Aux verriers) avant d’ouvrir en 2019 son propre atelier en Nouvelle-Aquitaine dans le sud de la France.

 

Prix (depuis 2018)

 

-Septembre 2022: Reconnue artisan d’excellence par le Homo Faber Guide de la Michelangelo Fondation.

 

-Mai 2021: Premier Prix des métiers d’art, District 1690 du Rotary 2020-2021

 

-Décembre 2020: Grand Prix de la Création de la Ville de Paris, talent émergent catégorie Métiers d’art.

 

-Juillet 2020: 1er Prix « Création » Nouvelle-Aquitaine du concours d’Ateliers d’Art de France.

 

-Juin 2020: Lauréate de la Fondation Banque Populaire.

 

-Septembre 2019: Second Prix « Artisan Créateur de Lumière » du GIL et des Ateliers d’Art de France.

 

-Septembre 2018: Finaliste du concours Rado Star Prize.

 

L’art sculptural de Marie Guerrier (1992) se pose à la frontière entre le design et l’œuvre d’art. Ses pièces jouent sur les pleins et les vides, la géométrie des formes et la notion de grandeur, au carrefour entre le microscopique et le macroscopique. Formée aux Métiers d’Art du métal à L’ENSAAMA (Paris, 2013), Marie Guerrier utilise ce matériau de manière omniprésente dans son travail. Elle trouve son inspiration dans la nature, en particulier dans le monde des minéraux, qui est géométrique, architectural et coloré. 

 

Outil primordial de construction, la géométrie occupe une place permanente dans toutes ses créations. Au-delà de son parti pris graphique et symbolique, elle permet d’illustrer l’analogie étonnante entre l’infiniment petit et le cosmos, nous rattachant ainsi au domaine des sciences. En quête d’équilibre et de poésie, Marie Guerrier bouscule les figures géométriques élémentaires en leur donnant vie par une représentation tangible dans l’espace et en les composant judicieusement afin de questionner notre perception. 

 

Restant intimement attachée aux savoir-faire artisanaux, la matière (le métal, mais aussi le bois, la céramique, le fil de nylon ou encore le béton), mise à l’épreuve avec patience et respect, est sublimée dans ses moindres détails. Aujourd’hui, Marie vit et travaille à Bordeaux dans l’atelier Mâ • Nouvelle Orfèvrerie qu’elle a fondé en 2017 avec l’artiste Camille Royer.

Breton de souche et de coeur, demeurant en Normandie. Formation d’historien, Université de Brest. Professeur d’histoire-géographie, puis Principal de collège. Auteur et réalisateur de nombreux documentaires d’histoire des arts. Parallèlement, j’ai mené une activité, d’abord en dilettante, puis de manière soutenue, de sculpture. C’est aujourd’hui mon activité principale. Ma démarche est résolument minimaliste, fondée sur le principe de la récupération: vieux outils, parfois d’usage inconnu, bois de charpente, pierre de construction, plus particulièrement la pierre de Caen. 

 

Mettre en présence ces matériaux, les assembler, c’est d’abord rechercher l’essence de la matière, dans leur forme la plus épurée. C’est aussi dialoguer avec les artisans d’autrefois, qui ont forgé, martelé le métal, raboté, mortaisé, poncé le bois. C’est encore se confronter à l’écoulement et à la concordance des temporalités: le temps géologique au secret de la pierre, le temps biologique des insectes mangeurs de bois, le temps laborieux de l’ouvrier du passé, le temps immémorial de l’artiste premier, l’inventeur du signe. 

 

Rechercher la forme pure, puis rompre cette pureté par l’empreinte, la coupure, la balafre. Tenter de retrouver l’inspiration du signe premier. Marier dans l’objet la géographie et l’histoire, conjuguer le contemporain et l’intemporel, Accomplir un geste… contemporel, en quelque sorte. Mais conserver le recul nécessaire: ne jamais se prendre trop au sérieux.

Stéphane Ducatteau est né le 3 octobre 1970 à Croix (59). Il vit et travaille en Normandie (France). De formation initiale scientifique (ingénieur) il a suivi plusieurs années de cours du soir aux ateliers des beaux-arts de la ville de Paris CAP de ferronnerie d’art (dessin, peinture, modelage, travail du verre…). Artiste créateur de mobilier contemporain, Stéphane Ducatteau travaille essentiellement la feuille de métal. 

 

Le mobilier est pour lui le support au développement d’une certaine esthétique. Son approche du meuble est résolument tournée vers la sculpture. 

 

La volupté et l’ergonomie des courbes qu’il façonne engendrent émotion et sensualité. Le métal prend des allures d’ébène grâce aux patines que Stéphane utilise avec brio. Chaque pièce est réalisée de façon unique avec la rigueur et la maîtrise du ferronnier d’art.

Née à Paris, où elle vit et travaille, Stéphanie Henry-Seguin, artiste designer, est venue au Verre par différents chemins. Constamment inspirée par différents matériaux et leur propriété à se métamorphoser en créations uniques, elle a exploré plusieurs univers : celui de la mode, de la photo et du cinéma. Adaptant sa créativité au cœur de chaque scénario.

 

Le besoin d’être plus en contact avec la matière et la couleur l’attire vers la mosaïque dont elle fait l’apprentissage auprès de Martine Lionel-Dupont. Un nouvel univers à travers lequel Stéphanie Henry-Seguin s’exprime pleinement dans la création de mobilier ou de fresques aux thèmes multiples.

 

Toujours réceptive à de nouvelles techniques, le passage dans un atelier de Verre soufflé, est un choc. La matière vivante en fusion à portée de main, lovée sur sa canne est une révélation.

La transmission du précieux savoir-faire se fait auprès de prestigieux maîtres verriers tels que Jean-Pierre Seurat, Stéphane Rivoal, Jeremy Maxwell Witrebert, Vincent Breed.

 

Le Verre soufflé à la canne est puissant de sensations fortes. Etiré, filé, sculpté, il se transforme à l’infini en créations qui exalte la lumière, la couleur et sa sensualité, traduisant toujours une nouvelle histoire.

Architecte HMONP 2017 formé à l’ENSA Paris-Malaquais, Thomas Morineau Barthélémy a fondé l’Atelier de création Geste-s en 2022 après des années de formation entre le Japon, la Suisse et la France, sur des projets à grande échelle, comme des morceaux de ville. Du projet urbain vers le meuble, le saut d’échelle est saisissant et pourtant si évident ; il s’agit de passer de l’architecture de la ville à l’architecture de l’objet. Immédiatement après la Design Parade Toulon en 2022 dont il est finaliste avec son projet de scénographie ‘’La Taulo e l’Oustau, la cuisine rêvée de Frédéric Mistral’’, Thomas Morineau Barthelemy renoue avec ses aspirations. Enfant, il dessinait des chaises et des lampes dans son carnet de dessin, ce qui le pousse progressivement vers l’architecture et l’urbanisme voulant comprendre les grandes échelles et les modes de fabrication de l’espace et de la ville. 

 

L’Atelier de Création Geste.s lui permet de créer une rencontre entre les savoirs faire manuels d’artisans variés, et ses dessins de conceptions. La collaboration que permet cette rencontre est l’essence même de Geste.s Agissant à différentes échelles, du bâtiment vers l’objet et vice versa, il a souhaité faire de Geste.s une plateforme interdisciplinaire portée par les matérialités brutes et la mise en avant des gestes artisans. « Nous concevons nos projets, de mobilier, de scénographie ou d’architecture, comme une succession d’échanges, de discussion, et de gestes entre l’usage, la conception et la confection. Je suis convaincu que c’est de cet échange que naissent la créativité et la justesse d’un projet. » soutient Thomas Morineau Barthelemy.

Architecte et designer franco-japonais, Thomas Takada possède une pratique pluridisciplinaire. Il est particulièrement reconnu pour son travail du textile, qu’il applique à la conception de costumes, de décors et d’installations pour le cinéma ou la performance. Sa méthode consiste à étudier méticuleusement les techniques de montage vestimentaire dans les archives des musées. Son œuvre explore des thèmes comme l’aliénation de notre environnement, et son esthétique est souvent marquée par l’utilisation de matières brutes, comme le lin, dont il sait révéler la qualité diaphane et le drapé.